myp
poème en prose
Je m'en vais...
Je m'en vais en ce beau matin d'autonme caresser le pavé froid de mon pas monotone. Mon esprit s'éveille au chant des oiseaux et une étincelle surgissant de l'inconnu m'emplit d'un bonheur singulier. Mon coeur tape alors contre le ciel magnifique. Le soleil caché semble forcer la montagne à se réveiller.
Je m'en vais rejoindre mon exil, mon palais qui resplendit sous la lumière dorée de l'aurore. Imposant il se repose. Tel un Olympe il brille de mille éclas, reflets de la vie, comme mille esprit tous contenus en son corps immortel.
C'est ainsi qu'il accueil les élèves encore tout fatigués par le rêve de tout une nuit.
Les eaux de la Seine coulent
comme le présage d'un temps lointain.
Au centre de Paris elles déboulent
comme dans le coeur des parisiens.
Elles longent les rides de la Terre,
les modèlent et les agrandient
en forme plus ou moins circulaire
pour absorber notre mélancolie
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tro belle la rose
lé larmes o yeux snif